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Le dilemme de la rémunération des entraîneurs de New Zebras

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By Myriam

Publié le :

Le dilemme de la rémunération des entraîneurs de New Zebras

Le secrétaire permanent du ministère de la Jeunesse, du Genre, du Sport et de la Culture, Kitso Kemoeng, a déclaré que la Fédération botswanaise de football (BFA) n’avait pas présenté d’arguments convaincants pour que le gouvernement prenne en charge le salaire du nouvel entraîneur des Zebras, Didier Gomes Da Rosa.

Dans une interview accordée à BOPA, Kemoeng a confirmé que la BFA avait fait une demande par l’intermédiaire de la Commission nationale des sports du Botswana (BNSC).

« Nous avons expliqué à la BNSC que nous n’avions pas d’argent », a déclaré Kemoeng. « Si la BFA pense avoir un dossier convaincant, nous pensons qu’elle continuera à le présenter.

M. Kemoeng a indiqué que lorsqu’il existe des circonstances impérieuses, le ministère examine les facteurs présentés et formule une recommandation au cabinet. Il a indiqué que dans le cas présent, aucune recommandation de ce type n’avait été formulée.

Ceci intervient après que le président de la BFA, MacLean Letshwiti, ait déclaré aux journalistes, lors d’une récente conférence de presse, que l’association n’avait pas obtenu gain de cause dans sa demande que le gouvernement paie l’entraîneur de l’équipe nationale.

Il a déclaré qu’il n’était pas dans le football pour échouer et que, par conséquent, la BFA trouverait des moyens de payer le salaire de l’entraîneur, car il s’agissait d’un projet national.

Letshwiti a déclaré que la gloire de l’association reposait sur le succès de l’équipe nationale, et que si l’équipe ne réussissait pas, on n’aurait pas accompli sa tâche.

« La BFA devra faire des pieds et des mains pour trouver l’argent et, en fin de compte, rendre la nation heureuse. J’ai donc besoin de tout le soutien possible pour m’aider à trouver l’argent »

A-t-il déclaré

Il a déclaré que les pays africains les plus performants en matière de football étaient ceux du Nord, comme le Maroc, l’Algérie et l’Égypte, parce que leurs gouvernements fournissent les infrastructures et les fonds nécessaires aux équipes nationales.

« Il n’est pas nécessaire d’être un grand savant pour s’en rendre compte, alors vous devriez arrêter de dire que la BFA est en train d’échouer. La BFA n’échoue pas, mais elle n’a pas la capacité et aucune fédération de football au monde n’a la capacité de financer l’équipe nationale ».

A-t-il déclaré

Il a déclaré que les Zebras étaient l’équipe nationale du Botswana, et non celle de la BFA, et qu’à ce titre, lorsqu’elle joue, c’est la nation qui joue.

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Myriam

Rédactrice en chef sur Footixt, Myriam est une passionée de sport. Elle pense que l'Afrique est une pépinière du football mondial, le coeur de ce sport et aimerait donner plus de visibilité aux championnats locaux.

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